LES BONNES NOUVELLES
Illustration : Fabien Mérelle
Les bonnes nouvelles ont été éditées par Les grands lunaires, en mai 2022. Ce livre n'a pas de diffuseur. Pour le commander : les.grands.lunaires (@)skynet.be.
4ème de couverture :
L’urgence et l’amour — comment appeler ça autrement ? – me poussent à t’écrire pour te donner une nouvelle fois la vie, l’envie. La ténacité du vivant t’a fait naître, il y a vingt ans, à travers moi, par l’entremise de notre désir de ton père et du mien. À l’époque, la question s’était posée : avions-nous le droit d’ouvrir les voies de l’existence à un nouvel humain sur la Terre que nous ne trouvions plus présentable en l’état ? Etait-il encore possible de vouloir naître ? Y avait-il eu un moment dans l’histoire humaine où la question ne s’était pas posée ? Une région du Monde où elle n’avait nulle raison d’être ? Car nous étions de ces parents qui réfléchissent avant de s’ensemencer. Nous avions cette liberté qui manque à tant d’autres. Dire non à la vie.
L'avis des lecteurs :
"J’ai relu votre cri, crayon en main. J’ai repassé au fluo les passages qui ont retenu mon attention et les ai recopiés. C’est en effet le cri d’une Pieta digne d’Anto Carte ou de Constantin Meunier ( « le coup de grisou ») ou de Käthe Kollwitz, la nouvelle Mutter Courage.
Walter Benjamin,: “Nur um der Hoffnunglosen willen ist uns die Hoffnung gegeben”. (“It is only for the sake of those without hope that hope is given to us.”) Pensée 68-778 "C'est en raison de ceux qui sont sans espérance que l'espoir nous est donné".
Bernanos : "La plus haute forme de l'espérance, c'est le désespoir surmonté."" Marc.G
"Merci de m’avoir envoyé ce beau texte, qu’on lit avec l’oreille, en se disant qu’il devrait être enregistré ou dit sur une scène. La couve est magnifique… Le propos ramifié et délicat, profond, audacieux aussi
(comment oser écrire sur son enfant, qu’en dira-t'il, etc.). A déguster plutôt qu’à lire. Caroline.L
j'ai lu Les bonnes nouvelles. J'en ai été très touchée. Ca me parle, à un autre moment. J'ai eu le cœur serré de lire certains passages, de ce que c'est de constater que l'enfant n'a pas toujours voulu prendre ce qu'on lui tendait. Je trouve ça un livre poignant en fait. Catherine P.